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Barack Obama – Citations

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A la Convention du Parti Démocrate (28 août 2008) :

« Le changement survient parce que le peuple américain le demande, parce qu’il se dresse et prône de nouvelles idées et de nouveaux dirigeants, une nouvelle politique pour une nouvelle ère. »

« Vous savez, ce pays, notre pays a plus de richesses que n’importe quelle autre nation, mais ce n’est pas ce qui nous rend riche. Nous avons l’armée la plus puissante de la terre, mais ce n’est pas ce qui nous rend forts. Nos universités et notre culture sont jalousées partout dans le monde, mais ce n’est pas la raison pour laquelle le monde vient vers nos rivages. La raison, c’est l’esprit américain, la promesse américaine, qui nous fait avancer même quand le sentier est difficile ; ce qui nous lie en dépit de nos différences ; qui nous fait porter le regard non pas vers ce qui est visible, mais vers ce qui est invisible, un endroit un peu fou. Cette promesse est le plus grand héritage que nous ayions reçu. C’est la promesse que je fais à mes filles quand je les borde le soir, et une promesse que vous faîtes aux autres, une promesse qui a permi aux immigrants de franchir les océans et aux pionniers de voyager vers l’Ouest, une promesse qui a conduit les travailleurs à manifester et aux femmes à exiger le droit de vote. »

Discours à Chicago, pour la victoire aux élections présidentielles, 4 novembre 2008 :

« S’il y a quelqu’un qui doute encore que l’Amérique soit l’endroit où tout est possible, qui se demande si le rêve de nos pères est encore vivant, qui s’interroge sur le pouvoir de notre démocratie, ce soir vous lui avez répondu. »

Discours d’investiture (20 janvier 2009) :

« Les Américains ont choisi l’espoir plutôt que la peur. »

« Nous sommes une nation de chrétiens et de musulmans, de juifs et d’hindous – et d’athées. »

« Un pays ne peut prospérer longtemps en ne favorisant que les plus prospères. »

« Nous sommes rassemblés ce jour car nous avons choisi l’espoir, et non la peur. Nous avons choisi de travailler dans le même sens, plutôt que d’aller au conflit et à la discorde. »

« Nos défis peuvent être nouveaux. Les instruments avec lesquels nous les relevons peuvent être nouveaux. Mais ces valeurs dont dépend notre succès – travailler dur et honnêtement, le courage et le fair-play, la tolérance et la curiosité, la loyauté et le patriotisme – sont, elles, anciennes. Ce sont des vérités. Elles ont été la force tranquille du progrès tout au long de notre histoire. Ce qu’il nous faut donc, c’est retrouver ces vérités. »

Devant le Congrès (24 février 2009) :

« Notre économie est affaiblie et notre confiance, ébranlée ; nous vivons des temps difficiles et incertains ; mais ce soir, je veux que tous les Américains sachent ceci : nous allons reconstruire, nous allons nous rétablir, et les Etats-Unis d’Amérique en sortiront plus forts qu’auparavant. »

« Nous savons que le pays qui canalisera le plus la puissance des énergies propres et renouvelables sera le dirigeant du XXI° siècle. »

L’audace d’espérer (16 mai 2009) :

« Selon moi, il y une différence entre le lobby d’entreprise, dont l’influence repose uniquement sur l’argent et un groupe d’ « individus partageant un même point de vue (…) qui cherchent simplement à regrouper leurs votes pour influencer leurs représentants. Les premiers subvertissent l’idée même de démocratie, les derniers en sont le fondement. »

« L’arc de l’histoire est long mais il tend vers la justice. »

« Il y a beaucoup de travail à faire. Mais aujourd’hui, nous tous Américains tenons entre nos mains la promesse d’un nouveau départ. C’est pourquoi les événements des quelques jours à venir ne sont pas seulement l’investiture d’un président américain ; ils seront aussi la célébration du peuple américain. »

Réunion (15 juin 2009) :

« Si nous ne réparons pas notre système de santé, l’Amérique pourrait bien prendre le même chemin que General Motors : payer toujours plus, recevoir toujours moins en retour, et se retrouver fauché. »

Déclaration après le Sommet du G20 à Londres (avril 2010):

« Ce sont des défis [la crise financière, le réchauffement climatique, la prolifération nucléaire] qu’aucun pays, quelle que soit sa puissance, ne peut affronter seul (…) les Etats-Unis doivent s’y conformer (…) mais notre meilleure chance pour résoudre ces problèmes sera d’agir de concert avec les autres nations. »

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